Le « rejet zéro »
Une solution innovante pour protéger notre environnement
Introduction au zéro rejet
Les écosystèmes reçoivent une quantité d’éléments polluants naturels ou directement issus du lessivage de pollutions anthropiques. Ils constituent de véritables machines à transformer la matière dissoute dans l’eau.
Aujourd’hui, il est reconnu 400 végétaux capables d’accumuler dans leurs tissus des éléments qualifiés de dangereux et même toxiques.
Ces végétaux développent des écosystèmes complexes dans lesquels il ne faut pas négliger le cortège de micro-organismes, d’insectes et de vertébrés, ainsi que le support édaphique.
Le système zéro rejet utilisera la capacité de ces formations naturelles à se développer dans un milieu anormalement chargé et à évapotranspirer une quantité annuelle d’eau.
Les écosystèmes agissent comme de véritables filtres où les éléments minéraux et organiques sont :
– Soit dégradés et consommés par une activité biologique intense,
– Soit fixés dans les substrats très riches en matériaux adsorbants.
L’efficacité du système repose sur l’adéquation de nombreux cycles de vie et sur la capacité naturelle des êtres vivants à s’adapter à leur milieu de vie.
L’évapotranspiration résultera de la santé des végétaux et du développement global de la biomasse.
Cette efficacité réside dans l’équilibre de l’écosystème où tous les acteurs sont utiles à la survie des autres.
Principes généraux du zéro rejet
Les écosystèmes agissent comme de véritables filtres où les éléments minéraux et organiques sont :
– Soit dégradés et consommés par une activité biologique intense,
– Soit fixés dans les substrats très riches en matériaux adsorbants.
L’efficacité du système repose sur l’adéquation de nombreux cycles de vie et sur la capacité naturelle des êtres vivants à s’adapter à leur milieu de vie.
L’évapotranspiration résultera de la santé des végétaux et du développement global de la biomasse.
Cette efficacité réside dans l’équilibre de l’écosystème où tous les acteurs sont utiles à la survie des autres.